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Je me pose plein de questions, Internet est un moyen d'y répondre

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La devise de la France est Liberté - Égalité - Fraternité. Cette devise peut et doit nous aider à trouver le bon chemin.

mardi 27 novembre 2007

Lorsque FaceBook passionne Le Monde - Les sites communautaires (du web 2.0) aiguisent les appétits - LeMonde.fr / Mashable! France

Où l'on parle de l'Open Source
...plusieurs entreprises ou programmeurs particuliers travaillent à l'élaboration d'une oeuvre commune, gratuite et copiable à l'envi.... - Oui il faut résister à l'envie de mettre un e à l'envi

Où l'on parle de Microsoft VS le Web 2.0
ou le Secret VS le Collaboratif
Microsoft a au contraire fondé son succès, à une époque où Internet était encore balbutiant, sur des principes précisément inverses : secret du code-source, collaboration minimale, modèle payant. Cette "culture" propre à la firme de Bill Gates, très éloignée des principes-clés de ce que l'on appelle communément le Web 2.0, explique peut-être sa difficulté à percer sur Internet et, en tout cas, à damer le pion à Google, pionnier du Web 2.0.

Où l'on parle plus précisément de Facebook
...Facebook a pu maintenir et renforcer l'attractivité de son système auprès des internautes. Du côté des développeurs d'applications, petites sociétés ou simples particuliers, l'engouement est considérable. En quelque six mois, plus de 8 000 applications ( 9281 applications au moment du blog) différentes ont été ainsi agrégées au site de la société de Palo Alto (Californie).

Les nouveaux chercheurs d'Or
Où l'on parle des killer apps de Facebook
qui serait des Roues de la Fortune
payée par ... les pubs de Google AdSense
(Si ! y en a aussi sur ce site, il faut juste les chercher :-)
Cette façon d'ouvrir son "code" à des tiers renforce aussi un modèle économique basé sur la publicité. En effet, tout développeur peut se rémunérer directement en plaçant des annonces publicitaires sur la page d'accueil de son application. Nombreux sont ceux qui ambitionnent de trouver la killer app (application qui tue) qui fera leur fortune. Celle-ci sera bien sûr proportionnelle à l'intérêt que suscite le service rendu parmi les adhérents de Facebook. Et cet intérêt renforcera d'autant l'audience du site, et donc le chiffre d'affaires publicitaire de Facebook.

Pour en savoir plus sur l'explosion de FaceBook en France, le mieux est de lire Mashable!

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